D’une intense sobriété, Japan's Tragedy, le dernier film de Kobayashi émeut et bouleverse. Le regard plein de tristesse et de résolution de l’immense Nakadai Tatsuya, qui porte le film avec une solidité inébranlable surtout reste en mémoire longtemps après la projection. Le constat est sans appel sur le destin du Japon, voire du monde, et une tristesse infinie transparaît dans chaque recoin du noir et blanc fixe du film. Ce désespoir transparaît jusqu’aux propos de Kobayashi lui-même, que nous avons eu la chance de rencontrer longuement pendant le Black Movie de Genève pour lui parler du film. Heureusement, la tristesse est contrebalancée par une gentillesse infinie et une envie de partager son expérience avec ses spectateurs. Propos recueillis par Victor Lopez.
C’est avec un grand sourire que nous accueille la réalisatrice mongole Byambasuren Davaa . Avec la même envie de partage culturelle qui traverse ses films, la cinéaste nous parle de son dernier très beau long métrage, Les deux chevaux de Gengis Khan, de sa rencontre avec Urna, de mélange de documentaire et de fiction et de l’histoire du cinéma mongole. Propos recueillis par Victor Lopez.
Interview Yamamura Koji Mon Premier Festival 6 novembre 2012
D’une intense sobriété, Japan's Tragedy, le dernier film de Kobayashi émeut et bouleverse. Le regard plein de tristesse et de résolution de l’immense Nakadai Tatsuya, qui porte le film avec une solidité inébranlable surtout reste en mémoire longtemps après la projection. Le constat est sans appel sur le destin du Japon, voire du monde, et une tristesse infinie transparaît dans chaque recoin du noir et blanc fixe du film. Ce désespoir transparaît jusqu’aux propos de Kobayashi lui-même, que nous avons eu la chance de rencontrer longuement pendant le Black Movie de Genève pour lui parler du film. Heureusement, la tristesse est contrebalancée par une gentillesse infinie, et une envie de partager son expérience avec ses spectateurs. Propos recueillis par Victor Lopez.
Vennu au Black Movie de Genève accompagnée de sa productrice Park Joo-young pour présenter Juvenile Offender, le réalisateur coréen Kang Yi-kwan a accépté de nous rencontrer pour nous parler de son film. Propos recueillis par Victor Lopez.
Aussi sympatique et gentil que ses films sont dérangeants et provoquants, Kim Kyung-mook a confirmé au Black Movie tout le bien que l'on pensait de son cinéma lors de sa découverte au FFCP. Entretien avec un "ange avec des cornes de diables", pour reprendre le mot de Bastian Meiresonne par Julien Thialon.