A l’occasion du programme JET (« Japan Exchange and Teaching Programme »), Matsumoto Leiji, le père prodigue d’Albator, Maetel et Emeraldas, a tenu une grande conférence à la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) le 7 juin. En collaboration avec Animeland et Leiji News (qui suit l’actualité de l’auteur sur les réseaux sociaux), East Asia a eu le privilège de rencontrer celui qui a régné en maître sur la science-fiction japonaise des années 70.
A l’occasion de la sélection du film Our Time Will Come d'Ann Hui au Festival du Cinéma Chinois en France (FCCF), retour sur la carrière de la cinéaste alors qu'elle était venue présenter certains de ses films à la rétrospective de la Cinémathèque française dédiée au cinéma hongkongais.
Le cadre du Festival d'Okinawa fut l'occasion de rencontrer Nakamura Ichiya, président du Festival de Kyoto dont il nous évoque les évolutions et spécificités. Un festival dont on vous parlera plus précisément dans quelques mois !
Egalement connu sous le pseudonyme de Run, Guillaume Renard est l’une des figures emblématiques des éditions Ankama. En 2003, il intègre le collectif Semper-Fi pour lequel il montre déjà ses talents d’illustrateur et de designer. Il rallie Ankama trois ans plus tard et donne naissance à Mutafukaz, sa première bande-dessinée. Il en lance l’adaptation cinématographique en 2009, fruit de l’association d’Ankama Animation et du Studio 4°C, l’une des plus prestigieuses sociétés d’animation japonaises. En parallèle, il crée le Label 619, toujours au sein d’Ankama, et lance en 2010 la série horrifique DoggyBags. Après plus de huit ans de conception, Mutafukaz est présenté pour la première fois en juin 2017 au Festival international du film d’animation d’Annecy, puis à L’Étrange Festival. Après plusieurs mois de suspense, le film sort enfin en salles. Guillaume Renard revient sur sa première expérience de metteur en scène sur Mutafukaz, partagée avec son homologue Nishimi Shôjirô.
C’est au festival d’Okinawa que nous avons pu interviewer Peng Xiaolian, réalisatrice du magnifique Please Remember Me. Elle nous parle de son amour pour le cinéma classique chinois et pour la ville de Shanghai.
Après notre critique de la comédie Dolmen X sur le monde des Idols et l'entretien avec son actrice Tamashiro Tina, rencontre avec le comique japonais Cookie qui en compose la musique et y fait une apparition. L'occasion d'évoquer les spécificités de l'humour japonais.