Les éditions Capricci éditent un formidable ensemble consacré à Jia Zhang-ke, réuni par le cinéaste lui-même, qui se révèle être, comme le dit un intervenant, "le meilleur théoricien de ses films" et qui apporte un éclairage indispensable sur une œuvre majeure du cinéma chinois contemporain. Par Victor Lopez.
Comme l’on s’en souvient à l’époque, Princesse Mononoké était supposé être le dernier film de MiyazakiHayao, son œuvre testament avant une retraite bien méritée. Cette apothéose était au cœur de la richesse thématique, de l’ambition et l’aboutissement visuels du film. C’est également la démarche de Joe Hisaishi dont la bande originale flamboyante est un sommet de sa collaboration avec Miyazaki. Par Justin Kwedi.
Peter Milligan réinvente cinq personnages du Marvel Universe en les plaçant dans un menaçant Japon médiéval. Du chanbara super-héroïque doublé d'une troublante cruauté mélancolique. Par Victor Lopez.
Pour compléter son voyage dans le cinéma Kazakh, Yannik Vanesse est allé à la rencontre d'Eugénie Zvonkine, spécialiste du cinéma d'Asie centrale, qui proposait cette année au FICA de Vesoul le "Regard sur cinéma du Kazakhstan : 1938 – 2011", qui nous a permis cette belle découverte.
Le grand Alan Tang nous a quitté le 29 mars 2011, à l’âge de 64 ans. Trop discret, trop rare depuis deux décennies, le bonhomme était pourtant une figure incontournable du cinéma de Hong Kong. Acteur phare des années 70, Alan Tang Kwong Wing naît le 20 septembre 1946 à Canton. Il est le cadet de la famille, rejoignant ses deux frères et sa sœur. Hommage à l'ocasion du premier anniversaire de sa mort par Anel Dragic.
Deux semaines après notre retour du festival du film asiatique de Deauville, il était temps d’y revenir posément, histoire de dresser un bilan de ces quelques jours. Surtout, il était important de livrer nos réflexions sur l’évènement, qui, on le sait, divise le microcosme du cinéma asiatique en France. Par Jérémy Coifman.