Il y aurait beaucoup à dire sur le cinéma d'action russe moderne, réponse au cinéma patriotique hollywoodien. Dernier métrage en date, Prisonner Of Power – Battlewtar Rebellion arrive chez nous. Sorti sous forme d'une mini-série de cinq heures, il est édité chez Factoris Film dans deux versions. Si l'une d'elle est l'édition intégrale en version originale sous-titrée, celle qui est critiquée ici est imputée pour arriver à une durée d'un peu moins de deux heures, et en version française uniquement.
East Asia quitte les contrées asiatiques le temps d'une analyse de ce qui peut fâcher dans le reboot de Superman par Zach Snyder. Une façon de vous annoncer que le site, de temps à autre, se permettra à la rentrée quelques échappés cinématographiques selon les envies de nos rédacteurs. Mais d'ici là, place à un retour sur une version bien rétrograde de l'Homme de demain. Par Victor Lopez.
Le cinéma d'horreur indonésien commence à arriver dans nos contrées. Après Modus Anomali, voici que débarque grâce à Wild Side Dead Mine, qui confirme hélas que les métrages choisis ne sont pas vraiment les plus intéressants à découvrir.
Monsters Club, disons-le d’emblée, est un film tout à fait déséquilibré. S’il fait indéniablement montre des talents de plasticien de Toyoda Toshiaki et de son habileté à tisser des atmosphères denses grâce, entre autres, à une utilisation très rigoureuse et précise du hors-champs, il souffre aussi de véritables défauts d’écriture. Le film de Toyoda ressemble en effet au type même de l’œuvre laissée trop longtemps en gestation, de l’œuvre trop réfléchie qui aurait, pour ainsi dire, « trop mûri ». Par Clément Pascaud.
Alors que le tournage de A Story Of Life And Death And Love, premier long-métrage d'Eric Dinkian se prépare, revenons sur les courts métrages de son auteur. En effet, le DVD les regroupant est offert aux souscripteurs d'Ulule, à partir de vingt euros
Hosoda Mamoru confirme les promesses entrevues dans La Traversée du temps etSummer Wars pour signer son chef d’oeuvre. Par Justin Kwedi.