Premier film de l’acteur israélien Sharon Bar-Ziv, Room 514 enferme son spectateur avec une enquêtrice militaire sous pression pendant une heure trente dans un décor unique. Un film de dispositif qui tient son ascétisme jusqu’au bout… mais pourquoi au fait ?
Ah, l'été, ses vacances, son soleil, le sable chaud, tout ça... Ses blockbusters dans les salles obscures, et bien d'autres choses... Et aussi, bien sur, la gestation de la nouvelle formule du site, dont l'équipe vous rabâche les oreilles depuis longtemps à présent. Et pour ouvrir les hostilités de la rubrique DVD, quoi de mieux que de revenir sur les sorties de l'été ?
On attendait beaucoup du film « français » du réalisateur des Enfants de Belle Ville et d’Une eéparation. Mais Le Passé est bien trop lourd (double sens inside).
Pour son premier long métrage, Les Jeux des nuages et de la pluie, le cinéaste d’origine brestoise, Benjamin de Lajarte, se démarque du genre par son ambition dans le récit et la mise en scène. Néanmoins, à l’exception de quelques coups d’éclat, le résultat escompté n’est guère convaincant.
Il est des films dont les titres fleurent bon la bisserie profonde. Difficile en effet, de s'attendre à un chef d'oeuvre face à Million Dollar Crocodile. Le spectateur, en espérant un film de grosse bête mangeuse d'hommes, tout droit venu de la Chine, en aura-t-il pour son argent ? Factoris Films, toujours là pour nous faire découvrir des œuvres surprenantes, nous permet de le découvrir, dans une édition certes dénuée de tout bonus, mais au blu-ray techniquement excellent.
L'arrivée de Ong-Bak sur les écrans français fut un véritable choc, pour les amateurs de cinéma d'action, et même les autres. Le talent martial de Tony Jaa, associé à la folie des cascadeurs thaïlandais, eurent pour résultat d'offrir un spectacle assez inoubliable. TF1 ressort en blu-ray le film suivant de son réalisateur, Prachya Pinkaew, datant de 2005, toujours avec Tony Jaa. L'occasion de voir si, passé la surprise, le spectacle de son artiste martial en pleine action, vaut toujours autant le détour.