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Avec The Land of Hope, Sono Sion livre un film à charge contre l’énergie nucléaire et l’attitude des autorités japonaises face à une catastrophe inspirée de celle de Fukushima. Un film « militant » qui échappe à une certaine lourdeur dogmatique en se focalisant sur un sujet cher à Sono Sion : la destruction/construction familiale. Par Marc L'Helgoualc'h.
La guerre des clans voyait les mythiques studios Shaw Brothers et le cinéma de Hong Kong trouver un nouveau souffle. Auparavant le studio avait toujours su faire sa révolution et engendrer une nouvelle mode. Par Justin Kwedi
Pour son septième long métrage, Im Sang-soo continue d'explorer la face sombre de l'élite sud-coréenne. Comme dans ses autres films, le réalisateur reprend ses thèmes de prédilection : le pouvoir, l'argent et le sexe. Un cimetière de la morale à la sauce oligarchique. Sélectionné au dernier Festival de Cannes, le film sera projeté au festival Black Movie de Genève avant sa sortie en France le 23 janvier et . Par Marc L'Helgoualc'h.
Existences solitaires, réflexions sur l’identité, violence de l’amour, ambiguïtés sexuelles… Stateless Things réunit toutes les préoccupations précédemment filées dans les courts-métrages de Kim Kyung-mook tout en les incorporant, cette fois-ci, dans un récit (plus ou moins bien) construit et non plus seulement dans une série d’images fortes sans véritable tension dramatique. Mais que l'on ne s'y trompe pas, Stateless Things reste un film contemplatif privilégiant largement l'atmosphère à l'action. Par Clément Pascaud.
Beauté de la beauté est un projet des plus atypiques. Jugez plutôt : les œuvres des plus grands peintres européens décryptées par le réalisateur de « Eros + Massacre », Yoshida Kijû. Un projet original et un regard fascinant sur des œuvres fondamentales de Cézanne, Delacroix, etc. en 20 épisodes. East Asia vous offre cinq coffrets, disponibles en DVD le 06 février.
En 2010, Outrage voyait Kitano revenir au cinéma de genre avec un Yakuza Eiga nihiliste, dans lequel le désenchantement avait pris du terrain sur la mélancolie de ses grandes œuvres des années 90. Outrage Beyong pousse la logique encore plus loin, mais avec une précision inédite dans la mise en scène et une profondeur renouvelée. Quelques impressions après la généreuse vision au Black Movie de Genève par Victor Lopez.