Aujourd'hui, on fête les 30 ans de ce chef d’œuvre qu'est Close-Up, jalon essentiel trop méconnu du cinéma d’Abbas Kiarostami de 1990, soit avant les coups de projecteurs cannois dont bénéficieront après ce film presque toutes les œuvres du cinéaste iranien. Close-Up marque véritablement le passage du cinéma de Kiarostami au niveau international, après deux décennies de films documentaires, mettant principalement en scène des enfants, et le très beau Où est la maison de mon ami ?. Le film devait ressortir en salles le 1er avril, en version restaurée sous la supervision de Kiarostami,. Crise sanitaire oblige, nous ne pourrons, pour le moment que le redécouvrir en VOD.
Après plus d'un an d'attente, la série coréenne Kingdom a fait son retour sur Netflix le 13 mars dernier. Horreur, politique et moralité s'entremêlent dans une deuxième saison efficace mais qui ne parvient pas à s'affranchir des défauts de la saison précédente.
Microhabitat, que l'on avait découvert en 2018 au Festival du Film Coréen à Paris (FFCP), fut un véritable coup de cœur. En ces temps difficiles, rendez-vous sur Outbuster pour découvrir ce portrait sensible, drôle et tragique des jeunes adultes coréens porté par une magnifique héroïne.
La 42ème édition du festival Cinéma du réel n'a malheureusement pas pu se dérouler physiquement. Toutefois, une partie de la sélection se trouve sur la toile, et notamment le moyen-métrage The Choice de Gu Xue, en compétition internationale. Ce dernier se déroule lors d’un plan séquence de 66 minutes, où les membres d’une famille se réunissent pour prendre une décision importante.
Avant de pouvoir découvrir Au bout du monde en DVD, vous pourrez visionner le dernier long-métrage de Kurosawa Kiyoshi, sur les plateformes de VOD. Et tant mieux car c'est l’un des plus beaux films du cinéaste, et une invitation délicate à partager la déambulation d’une grande amoureuse.
La 42ème édition du festival Cinéma du réel n'a malheureusement pas pu se dérouler physiquement. Toutefois, une partie de la sélection se trouve sur la toile, et notamment, We Still Have to Close our Eyes réalisé par John Torres qui nous plonge dans un Manille sous tension. Une oeuvre étrange et hybride qui intrigue et glace le sang.