Quoi de mieux que de découvrir une nouvelle rétrospective Ozu au cinéma ? C'est le programme de ce mois d'août. Légèreté burlesque teintée de mélancolie face au passage du temps et tranquillité de l’instant voilée par l’inquiétude face à l’avenir : Bonjour, l’un des Ozu les plus accessibles ressort en salles en version restaurée. Tentative de discours sur un film qui démontre l’inutilité des mots dans notre monde contemporain.
Après un passage dans plusieurs festivals, La Troisième femme, de la réalisatrice Ash Mayfair vient de sortir en salles, un peu en catimini. On prend donc la peine de vous parler de ce film d’époque subtil et maîtrisé qui traite de l’adolescence sur fond de mariage arrangé, mais qui est aussi un vrai, beau film de femmes, sur les femmes.
Quoi de mieux que de découvrir une nouvelle rétrospective Ozu au cinéma ? C'est le programme de ce mois d'août avec, notamment, Herbes Flottantes dans sa version restaurée. Réalisé en 1959, il s’agit de l’un des six films en couleur d’Ozu, sur la cinquantaine de métrages, courts et longs, qu’il nous a laissés à sa mort en 1963.
L'été 2020 n'aura surement pas été l'occasion de découvrir des nouveautés au rayon cinéma asiatique, mais grâce à Carlotta, il est possible de se replonger dans l'âge d'or du cinéma japonais d'après-guerre avec la ressortie de quelques grands films d'Ozu Yasujiro, en version restaurée. En l’occurrence, on se penche sur Fin d'automne, un film passionnant et surprenant à la fois.
Après des passages en festivals, Family Romance, LLC, débarque dans nos salles. Pour ce long-métrage, l’observateur et manipulateur Werner Herzog s’exile au Japon pour un objet surprenant.
Wang Quan’an, révélé en 2006 par Le Mariage de Tuya et chouchou du festival de Berlin (Ours d’or en 2006, ours d’argent du meilleur scénario en 2010 pour Apart Together), revient dans les salles françaises avec La Femme des steppes, le flic et l’œuf.