Terracotta nous permet de découvrir un thriller coréen. Présenté comme inspiré par Old Boy, chef-d’œuvre s'il en est, que vaut donc cet intriguant Desire To Kill, retitrage de Enemy At The Dead End ? Par Yannik Vanesse.
Tourné peu de temps après les élections de 2010, Return to Burma est un portrait réaliste du retour au pays d’un émigré birman. Pour ses débuts, Midi Z nous offre « le premier film tourné en Birmanie et présenté à un festival international ». Mais faut-il applaudir le courage du réalisateur ou critiquer l’absence de structure narrative ?
La sélection Action Asia du Festival de Deauville recelait quelques perles méritant grandement le coup d’œil, et d'autres beaucoup moins. Après Seediq Bale, À quelle catégorie appartient donc l'autre fresque guerrière présente, War Of The Arrows ? Antartic sortant le film en DVD, il est à présent possible pour tous de découvrir ce film.
L'amateur de films au postulat étrange ne peut que s'intéresser au cinéma japonais. Après les geishas robotisées, les sushis tueurs et les zombis des toilettes, voilà que, du Japon, nous arrive Gyo, Tokyo Fish Attack et ses poissons zombis mutants. Terracotta, sous sa bannière à part Terror Cotta, offre à nos yeux ébahis cette histoire des plus improbable. Alors, le spectateur va-t-il découvrir un nanar total, ou au contraire un bon dessin animé d'horreur ?
Ishii Teruo réalise avec Les Huit vertus bafouées un objet déviant, psychédélique et délirant, typique de ses productions les plus réussies de cette période. Le ton du film se situe au carrefour de sa célèbre série des Joys of Torture (dont il tira 8 films entre 1968 et 1973) et des objets plus pops et étranges qu’il réalisa après celle-ci comme les excellents Female Yakuza Tale avec la belle Ike Reiko ou encore Blind Woman’s Curse avec la non moins fameuse Kaji Meiko. Par Justin Kwedi.
Metropolitan sort dans un coffret DVD Sex & Fury Vol 1 de Teruo Ishii, réalisateur très prolifique et touche-à-tout ayant abordé dans sa carrière de cinéaste presque tous les genres cinématographiques (arts martiaux, science-fiction, etc.). Ici, il s’attaque à l’érotisme japonais dans les années 60 dans le premier des deux films proposés : L'amour abusif, déviant et dévergondé (Ijo Seai Kiroku Harenchi). Une œuvre très mineure malgré quelques fulgurances.