Avec Guzaarish, le réalisateur Sanjay Leela Bhansali revient en force et aux sources avec une histoire bouleversante mêlant magie, romance et drame, des personnages poignants interprétés par un casting de premier choix dans une mise en scène soignée et raffinée. Ainsi enchantement, passion et émotions sont au rendez-vous de cette histoire au thème fort et universel : mourir dignement…
La Ballade de l’impossible (Norvewian Wood) de Tran Anh Hung arrive sur les écrans français le 4 mai. En attendant la critique détaillée, voici nos premières impressions sur l’adaptation de Murakami vue à Deauville. Par Victor Lopez.
Sorti en 2007 sur les écrans, Saawariya signait le grand retour de Sanjay Leela Bhansali, réalisateur du poignant Black (2005) et du sublime Devdas (2003). Saawariya est mis à l’honneur au festival Made in Asia de Toulouse, occasion de (re)découvrir le premier Bollywood entièrement financé par une maison de production américaine : Sony. Par Sonia Recasens.
Le nouveau Tsui Hark, Detective Dee, sort en France le 20 avril 2011. Justin Kwedi a vu le film et nous explique pourquoi on a raison de trépigner d’impatience ! Par Justin Kwedi.
Mélangez une fille qui se vêtit en garçon avec de beaux et nombreux lycéens. Assaisonnez à l’aide d’une agréable touche d’humour. Saupoudrez avec une histoire touchante et enfin, poivrez avec un zeste de futilité. Ainsi, vous obtiendrez un drama Japonais incontournable nommé Hanazakari No Kimitachi E, plus communément appelé Hana Kimi. Par Véronica Berdie.
Yi Yi, film taïwanais sorti en l’an 2000, semble être né sous une bonne étoile : prix de la mise en scène à Cannes ; plébiscite critique à travers le monde ; succès public notable pour une chronique intimiste de 2h43. Derrière la conception de Yi Yi, son écriture, sa réalisation : un seul homme, Edward Yang. Ce passionné de films d’auteur européens, reconverti un temps dans l’informatique, meurt en 2007. Yi Yi restera le dernier de ses sept longs-métrages, et sans doute le plus connu. A dix ans de distance, on peut juger utile de revenir sur le phénomène : mieux comprendre ce film, sa beauté et les carences troublantes qu’il affiche à la re-vision, c’est peut-être aussi mieux cerner une certaine approche du cinéma et de la cinéphilie, voire, pourquoi pas, de la vie. Par Antoine Benderitter.