Invité d’honneur lors de la 5ème édition du FFCF en 2010, Ryoo Seung-wan est un jeune réalisateur, dont le film Die Bad fut considéré en Corée comme le premier long métrage le plus remarquable de l’histoire du cinéma coréen (rien que ça !). En 2000, il montrait avec ce film son point de vue brutal sur le monde du début du 21ème siècle dans lequel coexistaient la joie du nouveau millénaire et l’anxiété de la crise économique. Par la suite, quelques films comme No Blood No Tears ou encore The City of Violence ont suffi pour lui coller une étiquette de réalisateur de films d’action. Mais le cinéaste nous a également prouvé qu’il avait plusieurs cordes à son arc, notamment en matière de comédies loufoques, puisqu’avec son Crazy Lee en 2008, il nous gratifie d’un Austin Powers à la sauce coréenne, en bien plus barré. Veteran, le dernier né du réalisateur, fait actuellement le tour des festivals (nous avons pu le voir au Black Movie de Genève). Le Brussels International Fantastic Films Festival profite de sa 34ème édition pour mettre Ryoo Seung-wan en avant puisque, non-seulement Veteran concourt pour le prix thriller, mais le festival propose une petite rétrospective, avec entre-autre The Unjust, en DVD depuis le 18 avril 2012.
A l’occasion de la projection de Vertiges au FICA de Vesoul 2014, entretien avec l'actrice Linh-Dan Pham.
Si l'on est passionné d'arts martiaux et de danse, il serait indécent de passer à côté d'un film qui s'intitule Dance of the Dragon. Car qui dit Dragon sous-entend qu'il y aura vraisemblablement de belles chorégraphies martiales, et qui dit danse, eh bien... je crois ne pas avoir besoin de vous faire un dessin ! Et cerise sur le gâteau, dans l'un des rôles principaux, le charismatique à souhait Jason Scott Lee (ressuscité pour le coup d'entre les morts), est de la partie. Mais derrière ce titre accrocheur, le film tient-il toutes les promesses qu'il semble annoncer ? Dance of the Dragon par Olivier Smach.
Coup de projecteur, en sa présence, sur le réalisateur et chorégraphe légendaire ! Célèbre en Occident grâce à son travail sur des classiques tels que Matrix et Tigre et Dragon, Yuen Woo Ping est surtout l’un des fondateurs de la kung fu comedy, et a signé de nombreux films incontournables tels que Iron Monkey, Taï […]
Invité d’honneur lors de la 5ème édition du FFCF en 2010, Ryoo Seung-wan est un jeune réalisateur, dont le film Die Bad fut considéré en Corée comme le premier long métrage le plus remarquable de l’histoire du cinéma coréen (rien que ça !). En 2000, il montrait avec ce film, son point de vue brutal sur le monde du début du 21ème siècle dans lequel coexistait la joie du nouveau millénaire et l’anxiété de la crise économique. Par la suite, quelques films comme No Blood No Tears ou encore The City of Violence ont suffi pour lui coller une étiquette de réalisateur de films d’action. Mais le cinéaste nous a également prouvé qu’il avait plusieurs cordes à son arc, notamment en matière de comédies loufoques, puisqu’avec son Crazy Lee en 2008, il nous gratifie d’un Austin Powers à la sauce coréenne, en bien plus barré. Avec un background comme celui-ci, il va sans dire que son dernier film, The Unjust était plus qu’attendu par votre humble serviteur… Par Olivier Smach.
Une fois n'est pas coutume, notre sympathique équipe de joyeux lurons vous livrent leurs avis à "chaw" sur l’intégralité des films présentés dans la sélection officielle, non-officielle, ainsi que ceux sur les métrages qui figurent dans la catégorie Action Asia. Pour les avis, c'est en dessous que ça se passe !