Après ses années de formation documentaire, Hani Susumu se lance dans le long-métrage de fiction porté par une exigence de réalisme dont le cinéma japonais jusque-là avait rarement fait preuve. Partager Suivre
L’œuvre de Hani Susumu prend racine dans le documentaire. De sa rencontre avec des enfants en classe ou des animaux en cage naîtra un style novateur, basé sur un sens de l'observation particulièrement subtil, qui lui permettra de dépasser son domaine de formation pour s'épanouir dans le monde de la fiction.
Comme s’il n’avait plus rien à prouver, Kitano se lâche dans une comédie burlesque sur fond de conflits yakuza. Son film, en un certain sens, le plus authentique.
Critique du dernier né des Studios Ghibli à revoir cet été en blu-ray et DVD : Souvenirs de Marnie de Yonebayashi Hiromasa.
La rétrospective consacrée à Ôshima cette année à la Cinémathèque Française, en parallèle à la sortie chez Carlotta des DVD qui bouclent (presque) la collection, donne l’occasion de comprendre pourquoi le cinéaste apparaît comme l’un des plus grands réalisateurs japonais de la seconde partie du XXème siècle.
Alors qu’il n’avait rien réalisé depuis Mes voisins les Yamada en 1999, Takahata Isao revient sur le devant de la scène en salles avec un film d’animation quelque peu singulier produit par le Studio Ghibli dont il est, avec Miyazaki Hayao, l’un des fondateurs.