Il y a longtemps que je n’avais pas vu un film de Jet Li, sans doute fatigué de ses dérives américaines et ce malgré un excellent Les Seigneurs de la guerre noir à souhait où l’acteur campait avec justesse un rôle des plus sombre. Le voir de retour dans une production locale et dans un film paraissant être autant épique que grand spectacle ne pouvait que raviver ma flamme pour lui, d’autant plus que The Sorcerer and the White Snake (TSAWS) est réalisé par Ching Siu Tung , co-auteur des monuments cinématographiques hongkongais que sont les films A Chinese Ghost Story ou Swordsman. Serait- ce là le film de la réconciliation ? Par Maitre Shifu.
Il n’y a pas qu’en France où l’été cinématographique s’avère être un immense désert où les blockbusters et pépites font office d’oasis qui dessèchent la gorge du cinéphile obligé de voir ses salles submergées par les navets en tout genre. Par Maitre Shifu.
Après le retour de Tsui Hark et son Detective Dee, c’est un autre monument du cinéma hong kongais des années 90 qui nous fait son come back. Et quel come back ! Un budget de 3 millions de dollars, un buzz mondiale et pour finir un holdup up sur le box office en battant à Hong Kong Avatar de Cameron ! Je veux bien sur parler de Sex and Zen 3D : the great extasy du réalisateur inconnu Christopher Suen sortit le 14 avril dernier à Hong Kong et Taiwan. Par Maitre Shifu.