Kamui, le ninja solitaire, est l’adaptation du Seinen culte de Shirato Sanpei. Comme chaque adaptation, elle suscite autant d’attente que de crainte. Le film de Sai Yôichi a donc la lourde tâche de contenter les fans du manga, mais aussi tous les cinéphiles avides d’aventures dans le Japon féodal. La complexité du manga et sa profondeur ne rendent pas aisée la tâche du cinéaste. Par Jérémy Coifman.
Aujourd’hui, petit cours d’Histoire Made in Corée avec Le Sang du guerrier de Kim Yong-Kyun. Sur la jolie pochette du DVD (les étincelles qui sortent du sabre !impressionnant !), on peut lire que le film a remporté le grand prix Action Asia au festival de Deauville 2010 et a connu un grand succès au Box-Office Coréen. Il n’en faut pas plus pour piquer notre curiosité, en route pour la Corée ! Par Jérémy Coifman.
Second long métrage de la réalisatrice So-Yong Kim, Treeless Mountain raconte l’errance de deux sœurs abandonnées de toutes parts. Vrai drame social ou pur chantage émotionnel ? Un peu des deux en fait… Par Jérémy Coifman.
A la rédaction d’East Asia, on aime Nam Nai Choi. Que ce soit son cinéma fauché, faisant sans cesse l’apologie d’un nawak complètement assumé ou tout simplement son univers, entre générosité et naïveté. Après des années de souffrance, une des plus grandes injustices de ce siècle vient d’être réparée. Story of Ricky, son chef d’œuvre, sort enfin en DVD dans nos vertes contrées. Attention les yeux (et autres organes d’ailleurs !). Par Jérémy Coifman.
Quand Kongkiat Komesiri, réalisateur de Boxers, s’attaque au polar, cela donne Slice, curiosité sortie directement en DVD dans nos vertes contrées. Avec une affiche assez kitch, un postulat de départ assez convenu, que retenir de Slice ? Réponse imminente… Par Jérémy Coifman.
A l’occasion de la rétrospective à la cinémathèque Française consacrée au réalisateur Japonais, les éditions IMHO publient un livre sur ce cinéaste hors du commun. Composé d’un portrait de Jean-Baptiste Thoret, de plusieurs essais et entretiens du maitre, ainsi qu’un texte inédit d’ Oshima Nagisa, l’ouvrage de 256 pages et aux 100 illustrations permet d’entrer dans le monde de ce réalisateur militant. Par Jérémy Coifman.