L’un des réalisateurs en vedette ce mois-ci sur Mubi n’est autre que Kurosawa Kiyoshi. On revient sur Shokuzai, réalisé en parties en 2012.
Cette année, le Festival des 3 Continents permet au grand public de découvrir gratuitement des œuvres fortes. Demain après-midi et soir sera disponible Shokuzai, le film réalisé en 2 parties par Kurosawa Kiyoshi en 2012.
Le sublime I Don't Want To Sleep (2006) du génial Tsai Ming-liang est à redécouvrir sur grand écran au Black Movie 2018 dans la sélection "Mauvaus genre rétroqueer 18+" à côté d'autres œuvres essentielles venant interroger les minorités sexuelles et le genre au cinéma (le sublimeTropical Malady d’Apichatpong Weerasethakul, l'excellent Serbis de Brillante Mendoza, ou, pour sortir de l'Asie, O Fantasma de João Pedro Rodrigues, qui participera à la table ronde "Y a-t-il une esthétique queer ?" - découvrez toute la sélection ici). C'est l'ocasion pour nous de revenir sur un cinéaste singulier, en replongeant sur les obsessions, thématiques et visuelles, qui jonchent chacun de ses films.
Les chiens errants, le nouveau film du réalisateur taïwanais Tsai Ming-Liang, vient de sortir sur nos écrans. Au même moment, du 10 au 30 mars, se tient à la Cinémathèque Française une rétrospective de l’ensemble de son œuvre. Ces deux évènements nous donne la parfaite occasion pour faire le point sur ce grand cinéaste. Notamment sur toutes ses obsessions, thématiques et visuelles, qui jonchent chacun de ses films, et que l’on retrouve évidemment dans sa dernière merveille.
"Le Regard sur le cinéma philippin" : sous se titre, se cache une selection variée de 20 films de 1975 à aujourd'hui. Des découvertes suprenantes aux classiques de Lino Brocka, le Festival de Vesoul dresse un panorama passionant d'une cinématographie trop méconnue. La selection fait bien sûr la part belle à l'oeuvre de Brillante Ma. Mendoza, invité d'honneur et président du jury. L'occasion de voir ou (et) revoir sa dernière réussite : Thy Womb.
Le 29 mai marque enfin l'arrivée de la première partie de Shokuzai de Kurosawa Kiyoshi sur nos écrans, après nous avoir enchantés au festival de Deauville. Par Frédéric Rosset.