Et voilà… nous sommes déjà au bout du marathon annuel de films asiatiques d'Udine en cette dernière journée du samedi 28 avril avec la cérémonie de clôture bien en vue… Quoi de mieux qu'une dernière série de tours magiques pour enchanter le public, qui avait été une nouvelle fois très nombreux au rendez-vous ?!! Par Bastian Meiresonne.
La faim dans le monde, le problème du chômage en France, les bras manquants dans le social – et me voilà basant ma vie sur ma simple passion pour les films asiatiques… C'est soulagé, que je vois cette journée sous le signe d'une certaine thématique d'immaturité dans l'ensemble des films visionnés. Par Bastian Meiresonne.
Aujourd'hui, j'ai pris un coup de vieux. Non seulement, j'ai été fatigué après une nuit trop arrosée après la dernière séance de cinéma, mais mon cerveau refusait de se reconnecter à la réalité au réveil. Curieusement, j'ai également eu l'impression de faire plusieurs voyages dans le temps EN ARRIERE, de revoir du vieux refait à neuf et de m'identifier à des films clairement destinés à des spectateurs plus "vieux", du moins de ma génération (de trentenaire). Ce qui me fait faire un tout petit aparté pour saluer une nouvelle fois la très belle initiative de l'équipe de EAST ASIA à tenter de relayer la passion par rapport à des cinémas un peu passés de tendance et d'investir temps et passion pour rédiger des VRAIS articles dans un monde virtuel désormais faits de blogs et – surtout – tirades lapidaires sur facebook et twitter. Par Bastian Meiresonne.
Mercredi – tous les coups sont permis… comme celui de caler une journée sans "classiques du cinéma coréen" au Festival d'Udine… Très dommage, d'ailleurs, car à la place, on avait droit à deux comédies, dont je me serai personnellement bien passées. Par Bastian Meiresonne.
Beaucoup de spectateurs ont déploré la relative absence de gros actioners à l'édition du plus célèbre des festivals asiatiques italiens cette année – et force est de constater, que si cette journée se plaçait incontestablement sous le signe de la castagne, les coups donnés n'étaient pas forcément les plus durs. Par Bastian Meiresonne.
On me demande parfois à quoi je carbure pour tenir mon frénétique rythme de visionnage, mes nombreux déplacements et la multiplication de mes activités…Bah, à la passion, pardi…à ma passion pour le cinéma et pour le cinéma asiatique plus spécifiquement. Le cinéma asiatique est ma came, celui qui tient tous mes sens en éveil, me fait passer moultes nuits blanches et finira par avoir ma peau, ça c'est sûr. Par Bastian Meiresonne.