L'année cinématographique coréenne n'aura pas été l'une des plus enjouée et romantique. De The Strangers au Dernier train pour Busan en passant par Man on High Heels, les occasions de s'attendrir se faisait plutôt rares, y compris au sein de la nouvelle édition du Festival du Film Coréen à Paris où bons nombres de films possédaient une dimension sociale très prononcée un brin dépressif. Kissing Cousins constitue cependant, et contre toute-attente, l'une des rares exceptions à la règle et aurait très bien pu rejoindre la sélection de comédies romantiques que le Festival avait organisée l'an dernier.
Munie d'une unique valise, une jeune SDF arrive à Busan où elle espère dégoter un petit boulot. Après avoir trouvé une maison abandonnée pour y squatter, elle commence à parcourir la ville.
Deux amis, un artiste et un chef d'entreprise, s'éprennent d'une secretaire pour des raisons différentes. Cette passion envers cette femme visiblement blessée par la vie et au lourd passé rend jalouse la voisine du premier, amoureuse depuis l'enfance.
Jusqu'au mois de juillet, la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) présente une cinquantaine de productions parmi les plus marquantes de la Shintoho, compagnie fondée en 1947 qui a produit plus de 800 films avant de s'éteindre en 1961. L'occasion rêvée pour vous parler du réalisateur Ito Daisuke et de son film de jidaigeki, La tête du serviteur.
Ryoo Seung-wan revient cette année pour présenter au Brussels International Fantastic Films Festival 2016 Veteran, sa dernière réalisation qui demeure son plus gros succès à ce jour avec pas moins de 13 millions de spectateurs en Corée.
Ryoo Seung-wan revient cette année pour présenter au Black Movie 2016 Veteran, sa dernière réalisation qui demeure son plus gros succès à ce jour avec pas moins de 13 millions de spectateurs en Corée.