Le Très Court International Film Festival a mis en place un concept simple et novateur : des projections de courts-métrages de 3min maximum. Il se déroulera cette année dans 28 pays dont la France évidemment (Angoulême, La Rochelle, Millau, Paris, etc.) et l’Asie (Azerbaïdjan et Hong Kong) du 3 au 12 juin !
Le Très Court International Film Festival se compose de 8 catégories dont une compétition internationale. La sélection, très conséquente, contient quelques courts-métrages dont on se doit de vous parler !
Du côté de la compétition, deux films asiatiques seront projetés : Life Smartphone du Chinois Chenglin Xie et Pable Blue Blot du réalisateur singapourien Chin Li Zhi.
Dans la catégorie Paroles de femmes, on ira du côté de l’Iran avec My Sister’s Photo de Narges Kharghani et de la Corée du Sud avec The Last Poem Has Yet to Be Written de Yoon Pyeong-hwa.
Dans la sélection Différences, il faudra compter sur la seule présence de Singapour avec The Octopus Lady d’Amanda Wang Ziyan.
Et si on dansait ? C’est possible avec la sélection Music’n’Dance et la projection du film japonais Solo Scum de Mukai Jumpei.
Un autre film iranien a été sélectionné dans la catégorie Familiale : Jump in Love de Vahid Mobasheri et Ali Lavari Monfared.
S’il y a bien un genre que le court-métrage a exploré, c’est l’animation. Et cela tombe bien car le festival a une sélection Animation. Au programme : le Coréen The Animal Book de Cho Hyun-a et Kim Sujeong, et le Japonais Tokyo Cosmo de Miyauchi Takahiro.
Enfin, la catégorie Trash’n’Glam, réservée aux adultes ! Un seul court-métrage asiatique sera projeté : le film japonais Mosaic Man de Iwasaki Tomohiko.
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Elvire Rémand.