Box Office – Japon : Semaine du 26 novembre au 2 décembre 2015

Posté le 4 décembre 2015 par

Bienvenue dans le Box-Office ! Aujourd’hui, nous évoquerons les succès de la semaine du 26 novembre au 2 décembre au Japon.

  1. header_flag_france-1 Le Petit Prince de Mark Osborne (2ème semaine)
  2. Japon box office Girls und Panzer der Film de Mizushima Tsutomu (2ème semaine)
  3. Japon box office Raintree no Kuni de Miyake Yoshishige (2ème semaine)
  4. Japon box office Grasshopper de Takimoto  Tomoyuki (4ème semaine)
  5. Japon box office MOZU de Hasumi Eiichiro (4ème semaine)
  6. Japon box office Ore Monogatari!! de Kawai Hayato (5ème semaine)
  7. Japon box office Ghost Theatre de Nakata Hideo (2ème semaine)
  8. AMERICAN FLAG BOXOFFICE The Man from U.N.C.L.E de Guy Ritchie (3ème semaine)
  9. AMERICAN FLAG BOXOFFICE Woman in Gold de Simon Curtis (1ère semaine)
  10. Japon box office Eiga Go! Princess Precure Go! Go!! Gouka 3-hontate!!! de Toudou Izumi (5ème semaine)

 

Encore une excellente semaine pour notre cinéma domestique ! Après la triple-couronne du Transporteur : Héritage la semaine dernière, c’est la première fois qu’un film français truste une première place. En effet, malgré des piètres résultats nationaux (le film ne se place qu’à la 21ème place du box-office français), Le Petit Prince est un réel succès à l’étranger. Avec 252 853 spectateurs, il fait même un meilleur score au Japon que le dernier James Bond !

Sinon, nous avons ici une semaine plutôt standard. Entre films d’animation adaptés d’une série animéé, avec Girls und Panzer ou Princess Precure, des live actions issus de mangas avec Ore Monogatari!! ou long-métrages issus de dramas avec MOZU, le cinéma japonais semble plus que jamais régi par le petit-écran et les succès populaires.

Mais entre tous ces effets de mode boostés par un succès TV se trouve, comme une relique de la décennie dernière, le dernier film de Nakata Hideo, le très classique Ghost Theatre qui se place dans le bas du classement avec moins de 30 000 places vendues. Symbole d’un cinéma japonais qui a définitivement tourné le dos à son âge d’or horrifique ou refus d’un mauvais film ?

Elias Campos.

Source : Tokyohive

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