Un film tellement paisible que l’on s’endort devant sans même sans rendre compte… Par Victor Lopez.
Ça commence avec de belles images sur une énigmatique poésie, évoquant une rivalité amoureuse sur fond de légende. Ça se poursuit avec une intrigue ténue qui mélange présent et passé de la ville de Nara. Mais le récit est tellement fragile, que l’on met au défi le spectateur le plus attentif du film de le retracer. L’intrigue n’intéresse pas la réalisatrice, soit, mais les personnages non plus n’ont pas de chair, et les paysages de profondeur… Hanezu n’a donc pas la force plastique qui suffirait à provoquer un quelconque envoutement. Par contre, à en croire mes voisins de projection, le film marche parfaitement comme somnifère…
Victor Lopez.
Verdict :