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Pour les cinéphiles amateurs de cinéma asiatique et désireux de découvrir de nouveaux réalisateurs, 2020 est une bonne année puisque ce n'est pas moins que deux films du méconnu réalisateur taïwanais Chung Mong-hong qui sont visibles, Godspeed (en DVD/Blu-Ray chez Spectrum Films) et A Sun, disponible sur Netflix. Et c'est à ce film multi-récompensé aux Golden Horse Film Festival and Awards que nous allons nous intéresser.
Lorsque l’on évoque le cinéma asiatique, on pense immédiatement à des pays incontournables comme le Japon, la Chine, la Corée du Sud, entre autres. Pourtant il est un pays qui se montre plus discret mais qui n’a pas à rougir de son arrivée sur le marché, ce pays c’est le Kazakhstan. Et parmi ses plus brillant réalisateurs, se trouve Adilkhan Yerzhanov, cinéaste qui écume les festivals depuis plus de dix ans maintenant. Son dernier long-métrage, A Dark, Dark Man, est en salles !
Il y a de cela deux ans, Fabien Mauro avait, via son livre Ishiro Honda, humanisme monstre, permis aux cinéphiles comme aux néophytes les plus curieux de découvrir la vie et l’œuvre du célèbre cinéaste japonais, créateur de l’incontournable Godzilla. Il doit sa renommée à ses films tournés dans le Japon d’après-guerre, principalement des films de monstres. Mais Honda Ishiro est un arbre, certes majestueux, mais qui cache la forêt d’une quantité hallucinante de films de genre tournés après la guerre. Et c’est cette passionnante et foisonnante partie de l'histoire du cinéma fantastique que Fabien Mauro nous conte dans son nouveau livre Kaiju, envahisseurs et apocalypse : l'âge d'or de la science-fiction japonaise.
Lorsque l’on évoque le cinéma asiatique, on pense immédiatement à des pays incontournables comme le Japon, la Chine, la Corée du Sud, entre autres. Pourtant il est un pays qui se montre plus discret mais qui n’a pas à rougir de son arrivée sur le marché, ce pays c’est le Kazakhstan. Et parmi ses plus brillant réalisateurs, se trouve Adilkhan Yerzhanov, cinéaste qui écume les festivals depuis plus de dix ans maintenant. Son dernier long-métrage, A Dark, Dark Man, projeté en compétition à L'Etrange Festival 2020, est une passionnante démonstration de savoir-faire et de mise en scène, doublée d’un portrait acerbe de la société.
L'été 2020 n'aura surement pas été l'occasion de découvrir des nouveautés au rayon cinéma asiatique, mais grâce à Carlotta, il est possible de se replonger dans l'âge d'or du cinéma japonais d'après-guerre avec la ressortie de quelques grands films d'Ozu Yasujiro, en version restaurée. En l’occurrence, on se penche sur Fin d'automne, un film passionnant et surprenant à la fois.
Les amateurs de Yuasa Masaaki peuvent se réjouir. Après avoir eu l'occasion de (re)découvrir une partie non négligeable de son oeuvre via Netflix qui propose entre autres Devilman CryBaby, The Tatami Galaxy ou bien encore The Night Is Short, Walk On Girl, il est désormais possible de regarder son dernier projet, Japan Sinks 2020, série ayant pour thème la destruction du Japon. Mais si la série est très loin d'être un échec, elle accumule quelques défauts qui l'empêchent d’accéder au statut d'oeuvre majeure dans la filmographie de Yuasa Masaaki.