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Le Festival Cinéma(s) d'Iran revient pour une 2e édition du 6 au 17 juin au Cinéma Nouvel Odéon à Paris. Ce festival a pour objectif de présenter la diversité et la richesse du cinéma iranien, assez peu médiatisé. L'année dernière, plusieurs personnalités avaient été reçues comme Asghar Farhadi, Ali Mosaffa (Le Passé) ou Leila Hatami (Une séparation). La programmation de cette année promet d'être également riche !
Les films à sketches ont la cote. Si Tokyo Grand Guignol atterrit sur East Asia, ce n'est pas pour rien ! Premièrement, il s'agit d'un projet français ; et on est aussi un peu chauvins sur East Asia. Deuxièmement, tous les acteurs sont japonais. Que demander de plus ?
La journée de dimanche fut assez involontairement consacrée à trois films en langue espagnole, hormis le coréen Hard Day de Kim Seong-Bun (qui donne lieu à une interview à part). Plusieurs nationalités tout de même, plusieurs sections aussi, mais trois pépites discrètes qui ne feront peut-être pas de vagues aux palmarès, mais qui sont de très belle tenue.
A l'initiative d'un projet de diffusion mondiale des films Mobile Suit Gundam Unicorn sous le nom de A message to the World, le Grand Rex projettera lors de deux soirées exceptionnelles en juillet prochain les 7 films de la série.
La Cinémathèque française met à l'honneur cet été le réalisateur japonais Fukasaku Kinji, cinéaste aux 40 ans de carrière.
Et oui ! Deux journées en un seul papier, parce qu’il faut tenir un rythme où les films n’attendent pas, tout comme les spectateurs se bousculant à l’entrée des salles, pressés d’être les premiers installés devant le grand écran. Passage en revue de deux films en Compétition Officielle, dont le premier film français de la sélection, Saint Laurent, ainsi que celui de Mathieu Amalric en section Un Certain regard. Enfin, notre premier film vu à La Semaine de la critique, qui n’est rien de moins qu’un bon petit film horrifique.