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Alors que la tempête faisait rage dehors, le célèbre TEATRO d'Udine tentait de réchauffer les cœurs en balançant une série de comédies romantiques capables de faire fondre le plus endurci des célibataires. Par Bastian meiresonne.
Une première vraie journée indéniablement placée sous le signe des "jeunes (et moins jeunes) premiers" du cinéma asiatique avec une sélection de courts-métrages issus du festival hongkongais FRESH WAVE chaperonné par Johnnie To (en sa présence), un premier long de l'autoproclamé "Steven Spielberg de la Chine" Fei Wing et une poignée de seconds longs confirmant la présence ou l'absence de talent de leur réalisateur. Par Bastian Meiresonne.
Kora est un film sino-taiwanais de Du Jiayi qui a remporté le prix de la meilleure contribution artistique au 24ème festival international de Tokyo en 2011. Arrivant donc avec les honneurs en France dans le Festival du cinéma chinois, il me tardait d’apprivoiser ce premier film dit « d’auteur » de l’ancien producteur de Chen Kaige (Adieu ma concubine, Wu ji, la légende des cavaliers du vent, L’Empereur et l’assassin). Autant dire tout de suite que ma déception fut aussi grande que l’attente consacrée pour ce nouveau réalisateur qui se cherche encore. Par Julien Thialon.
Coup d'envoi de la 14eédition du Festival Far East d'Udine en ce soir du vendredi 20 avril 2012…sous des projecteurs… éclatants… Oui, car dehors règne un temps de fin du monde, un temps maussade, pluie glaçante et grisaille, comme cela n'a été le cas qu'une autre fois au cours des six dernières années, que je viens au festival. Peu importe, car dans la salle du TEATRO archicomble (1.200 places) règne la chaleur si typique du festival, une bonne humeur communicative, un public local au contact facile et au plaisir de tous se retrouver autour d'une même passion. Par Bastian Meiresonne.
On connaît maintenant la sélection officielle du 65ème Festival de Cannes qui se déroulera du 16 au 27 mai 2012, petit tour d'horizon des films asiatiques qui vont concourir pour la Palme d'or. Par Jérémy Coifman.
C’est à l’indispensable FICA de Vesoul, qui proposait l’intégralité de l’œuvre discrète mais majeure de Kore-eda Hirokazu, que nous avons rencontré le réalisateur de I Wish. L’occasion de longuement s’entretenir sur son œuvre, son rapport au quotidien, aux enfants et ses goûts cinématographique. Par Victor Lopez.