rester connecté
Mot de passe oublié ?
Only God Forgives, premier film post Drive de Nicolas Winding Refn a essuyé de nombreux sifflets lors de sa projection cannoise. Le projet s’éloigne du grand public, quand Drive avait su les appâter. Portrait d’un film fascinant.
Après Shokuzai, projet télévisuel fleuve, Kurosawa Kiyoshi revient avec Real, anciennement appelé A Perfect Day For Plesiosaur, qui captive autant qu’il émeut.
Après Drug War, polar primé au festival de Beaune, Johnnie To s’octroie une parenthèse légère dont il a le secret.
Après un petit détour par la télévision (Going My Home, dont on reparlera bientôt), Kore-Eda s’invite à Cannes avec Like Father, Like Son.
Après I Wish I Knew, histoire de Shanghai, film passionnant mais mineur, Jia Zhang-ke revient avec un très grand film sur la Chine d’aujourd’hui, doublé d’un sublime hommage au cinéma de genre.
Depuis le succès des films de Quentin Tarantino et de son compère Robert Rodriguez, le cinéma grindhouse a le vent en poupe, et nombreux sont ceux s'essayant au film de fan s'intéressant à tout un pan du cinéma d'exploitation. Le résultat, bien évidemment, n'est pas toujours heureux, et il ne suffit pas d'aimer le cinéma de genre pour savoir faire un bon film. Que vaut donc la tentative du rappeur RZA en la matière ?