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Après Nuits d’ivresse printanière, Lou Ye nous revient avec Love And Bruises, l’histoire d’une passion amoureuse douloureuse. Le cinéaste chinois, de par sa réputation sulfureuse et ses problèmes avec la censure, jouit d’une grosse côte auprès des critiques. Son opus parisien sera-t-il à la hauteur ? Par Jérémy Coifman.
Au gré des festivals internationaux, Nuri Bilge Ceylan s’est imposé – avec Semih Kaplanoglu (Miel, 2010) – comme le fer de lance du cinéma d’auteur turc contemporain. Son dernier opus en date, Il était une fois en Anatolie, sort en France le 2 novembre 2011. Par Antoine Benderitter.
Su Qi-Er (True Legend) marque le grand retour de Yuen Woo-ping en tant que réalisateur, qui n’avait pas officié dans ce rôle depuis Tai ji quan (Tai Chi master 2) en 1996. Et pour le coup, le légendaire chorégraphe Hong Kongais (Il était une fois en Chine, Kill Bill…), fait un come-back des plus fracassants dans la pure tradition des films du cinéma Hong-Kongais des années 80 à l’ère du numérique !
Strong World, est le 10ème film réalisé à partir du manga One Piece d’Oda Eiichiro. Le manga, encore en cours, continue de battre record sur record en termes de tirages et de ventes et la série a, il y a peu, fêté en grande pompe les 200 millions de volumes vendus ; la célébration de l’événement a traversé les différents magazines de l’éditeur Shueisha et a été relayée par d’imposants affichages dans le métro de Tokyo. Par Aurélien Pigeat.
Dire que The Murderer, le nouveau film de Na Hong-jin était attendu est un doux euphémisme. Depuis sa sortie en 2008 (puis en 2009 chez nous), The Chaser a fait couler de l'encre et posé le metteur en scène comme l'un des plus prometteurs de sa génération. Na Hong-jin confirme-t-il son talent avec ce deuxième essai ? Vérification. Par Anel Dragic.
Le cinéma coréen, qu'on se le dise, à un principal défaut : il manque cruellement d'originalité et d'innovation. Cependant, cette tare cache une qualité : chaque film sortant du lot en se montrant inventif, bien réalisé et bon, est une claque. C'est ainsi que l'on voit de temps à autre des perles absolues émerger de Corée là où peu de monde les attendent. Ce fut le cas de The Chaser, en 2008, qui fut une claque de mise en scène et la révélation d'un réalisateur. Et c'est aujourd'hui le cas de I Saw the Devil, sixième film de Kim Jee-Woon, qui explore cette fois ci le thriller à base de vengeance, de violence, et de sadisme. Par Tony F.