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Les Américain n'ayant pas le monopole des super-héros, voici que Wild Side édite Red Eagle en DVD, super-héros thaïlandais luttant dans un futur proche. Par Yannik Vanesse.
La prononciation du nom de Jingle Ma est à chaque fois accompagné d’un sentiment d’effroi pour le spectateur. Le réalisateur représente en effet le pire de ce que peut produire l’industrie cinématographique hongkongaise. Yes man, metteur en scène impersonnel capable d’emballer tous les genres les plus opportunistes (allant des comédies romantiques au pire du cinéma […]
The GrandMasters se dévoile peu à peu. Voici cinq bonnes raisons d’attendre de pied ferme le nouveau film de Wong Kar-Wai ! Par Victor Lopez.
Les premières images de Ghost : the Cinderella laissent penser à un énième film de fantôme asiatique (thaïlandais ici) – nous avons même droit à la jeune femme en robe au regard vide. Mais, outre que l'histoire semble se passer dans le milieu du cinéma, c'est surtout la déviance de certaines scènes qui suscite l'intérêt. Messes noires, mutilations et auto-mutilations, tortures, le film semble merveilleusement gore et malsain. La bande annonce montre ainsi un homme se faire scalper à vif et un autre se faire écorcher le dos – toujours à vif, sinon l'intérêt est moindre. Le résultat, semblant mélanger l'histoire de fantôme classique et une ambiance bien craspec à la Saw, donne plutôt envie... Par Yannik Vanesse.
Il y a quelques semaines, au début du mois de juin, l'artiste taïwanais Leland Lee était de passage à Paris avant de s'envoler exposer ses toiles colorées à la biennale de Venise. L'occasion était alors belle de partir à la découverte de l'univers du peintre, d'autant plus qu'il occupe une place centrale dans le dernier documentaire de Lin Cheng-sheng : Tkinkle, twinkle, little stars, consacré aux enfants autistes. Par Victor Lopez et Olivier Smach.
Il devient véritablement difficile de trouver son bonheur parmi les grosses productions hongkongaises. D'un côté, nous sommes bombardés de blockbusters wu xia (co-produits par la Chine mainland), synonymes des mises en scène américanisantes bien pompeuses et sans la moindre folie. De l'autre, on trouve City Under Siege... pardon... Blast (nan mais quel titre de merde, ça mériterait un BIP BIP BIP - suite à la violence des propos tenus à l'encontre de l'éditeur du film, East Asia se voit obligé de censurer cette introduction, mais vous aurez compris l'idée - Victor), qui l'a bien, lui, le grain de folie, quitte à passer pour un gros nanar friqué. Par Anel Dragic.