Misumi Kenji était un réalisateur majeur de l'âge d'or du cinéma japonais. Dans les années 1960 et 1970, il a composé de véritables chefs-d’œuvre du chanbara qui contribuèrent à la renommée du cinéma de l'archipel nippon d'alors. The Jokers propose une rétrospective 4 films, avec notamment Zatoichi, le masseur aveugle, qui nous intéresse dès à présent.
Misumi Kenji a réalisé bon nombre de chefs-d’œuvre du chanbara, le film de sabre japonais, durant l'âge d'or des années 1960 et 1970. The Jokers Films nous propose de célébrer ce maître sur grand écran à travers une rétrospective de quatre films importants de sa longue filmographie : Zatoichi, le masseur aveugle (1962), premier opus de la sage fleuve du célèbre sabreur aveugle et la Trilogie du sabre, composée de Tuer (1962), Le Sabre (1964) et La Lame diabolique (1965). En partenariat avec le distributeur, nous vous proposons de gagner vos place.
Pour les 30 ans de la sortie de Love Letter (1995), la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) a consacré une rétrospective intégrale aux longs-métrages de fiction du cinéaste du 2 au 12 juillet. Une première en France et l'occasion de (re)découvrir un cinéaste culte mais invisible chez nous. À cette occasion, nous avons pu rencontrer Iwai Shunji afin d'échanger sur sa carrière et son dernier film.
Du 22 janvier au 8 février 2025, la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) poursuivra sa découverte des artisans chevronnés du cinéma japonais, avec un cycle dédié au réalisateur Okamoto Kihachi, appelé le "John Ford japonais", en allusion au célèbre cinéaste américain.
Figure de proue de la Nouvelle Vague kazakhe des années 1980, Darejan Omirbaev n'a pourtant à son actif que sept longs-métrages et quelques courts. L'intégralité de sa filmographie sera projetée à La Cinémathèque française du 9 au 16 octobre 2024, en sa présence et accompagnée de conférences menées par Eugénie Zvonkine et Bernard Benoliel.
Carlotta Films nous fait replonger dans l’âge d’or du cinéma hongkongais à travers la rétrospective Stanley Kwan, le romantisme made in Hong Kong en 4 films restaurés. On revient sur Center Stage, fascinant objet entre biopic et documentaire, capturant le destin d'une star du cinéma chinois classique et offrant un de ses rôles majeurs à Maggie Cheung.