La Cinémathèque française effectuera, du 25 juin au 17 juillet, un retour sur 25 films indispensables du cinéma d'animation japonais. On regarde la programmation.
Classique immortel de l'animation japonaise réalisé en 2001 par le très regretté Kon Satoshi, Millennium Actress est dès à présent disponible sur MUBI.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur deux ouvrages récents : Suzuki Seijun and Postwar Japanese Cinema de William Carroll et Le Paradigme Fukushima au Cinéma; ce que voir veut dire d’Élise Domenach.
Eurozoom ressort en salles Memories, omnibus de science-fiction culte des années 90 chapeauté par Otomo Katsuhiro et qui contribua à mettre en lumière de grands talents en devenir comme Morimoto Koji ou Kon Satoshi. Une merveille à découvrir sur grand écran, restaurée en 4K.
France TV nous propose, une fois de plus, un sublime programme de japanimation avec Tokyo Godfathers de Kon Satoshi qui s'essaie au conte de Noël tout en préservant ses thèmes de prédilection.
Pour qui ne serait pas cinéphile passionné de cinéma d'animation, japonaise de surcroît, le nom de Kon Satoshi n'évoquera pas grand chose. Aussi, chaque nouvel ouvrage ou documentaire revenant sur ce metteur en scène et le remettant en lumière est toujours accueilli avec grand plaisir. Le livre de Bounthavy Suvilay aux Editions Ynnis arrive donc à point nommé pour se pencher sur le mythe Kon Satoshi, le découvrir (pour les profanes) ou apprendre à le re-découvrir (pour les fans les plus curieux).