La vie de Kitano Takeshi sera de nouveau adaptée en long-métrage, dans Asakusa Kid, réalisé par Gekidan Hitori. Ce sera le 9 décembre sur Netflix !
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur ses dernières lectures et découvertes cinématographiques et artistiques.
Avant de découvrir la programmation cinéma de l'exposition Ultime combat, qui se déroulera du 28 septembre au 16 janvier au musée du Quai Branly, on jette un coup d'œil au festival de cinéma jeune public, intitulé "En route pour l'Asie", qui se tiendra du 30 octobre au 7 novembre !
Dans la douce et tendre tradition japonaise des peintures de quartiers populaires, La Mère (1952) de Naruse Mikio ne fait exception. Véritable bijou de pudeur autant que de finesse et de sensibilité, disponible dans nos salles françaises dès le 9 juin, suite à une sortie repoussée.
Dès son deuxième long-métrage, Vive l’amour (1994), Tsai Ming-liang commence à s’engouffrer dans la radicalité qui fera sa renommée, bien plus que sa précédente expérimentation. Second film du coffret de Survivance consacré aux débuts du réalisateur taïwanais. Il accompagne Les Rebelles du dieu néon (1992) et La Rivière (1997).
La nouvelle édition du Festival Kinotayo est forcément différente, mais pas moins riche. Vous pourrez découvrir une flopée de films japonais, en ligne sur FilmoTV, dont Hana-bi, réalisé par Kitano Takeshi en 1997.