Il y a longtemps que je n’avais pas vu un film de Jet Li, sans doute fatigué de ses dérives américaines et ce malgré un excellent Les Seigneurs de la guerre noir à souhait où l’acteur campait avec justesse un rôle des plus sombre. Le voir de retour dans une production locale et dans un film paraissant être autant épique que grand spectacle ne pouvait que raviver ma flamme pour lui, d’autant plus que The Sorcerer and the White Snake (TSAWS) est réalisé par Ching Siu Tung , co-auteur des monuments cinématographiques hongkongais que sont les films A Chinese Ghost Story ou Swordsman. Serait- ce là le film de la réconciliation ? Par Maitre Shifu.
Après Detective Dee , des nouvelles du prochain Tsui Hark avant sa sortie en décembre à Hong-Kong avec un petit reportage montrant des images du tournage et une première bande-annonce. De quoi saliver en attendant ce remake de Dragon Gate Inn de King Hu. Encore ? Oui, mais cette fois-ci, Flying Swords Of Dragon Gate sera en 3D ! Et comme le projet scelle les retrouvailles de Jet Li et Tsui, il y a de quoi être alléché ! Par Victor Lopez.
À l’occasion de la sortie de Detective Dee , retour sur la dense filmographie de Tsui Hark ! Deuxième partie sur l’œuvre d’une incroyable richesse réalisée entre 1990 ( Swordsman ) et 1996 ( Tri-Star ). Par East Asia.
Réalisé en 1998, c’est à dire en pleine période post-rétrocession The Hitman (ou Hitman en France, le pays qui aime casser les « The ») fait un peu figure de perle rare compte tenu du contexte bien morne dans lequel il a été réalisé. La même année, le spectateur hongkongais, ou le cinéphile étranger, n’avait vraiment pas grand chose à se mettre sous la dent. À part le début de la vague Johnnie To, portée par des films comme Where a Good Man Goes et The Longest Nite ou bouffer du Young and Dangerous (en 1998 sortaient le 5, la prequelle et le spin off, Portland Street Blues, rien que ça!), pas grand chose à se mettre sous la dent. Les amateurs de films d’action qui tatanent, pouvaient commencer à regretter le passé. The Hitman a-t-il été le petit regain d’espoir pour les amateurs du genre ? Réponse tout de suite ! Par Anel Dragic.
Du 26 janvier au 8 février 2001 se déroulait la première édition du “Festival du cinéma chinois en France”, dans quatre villes françaises (Paris, Lyon, Toulouse et Versailles). Comme toujours, East Asia a répondu à l’appel et vous livre son compte-rendu critique. Par Anel Dragic.
Les amoureux du cinéma chinois, donc vous, chers lecteurs, peuvent se réjouir : Paris, Toulouse, Lyon et Versailles accueillent du 26 janvier au 8 février le premier festival du cinéma chinois en France et sa programmation est plus qu’alléchante !