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Mot de passe oublié ?
Parmi les plus grands cinéastes japonais du siècle dernier, Uchida Tomu demeure assez discret en Occident. Le Détroit de la faim est pourtant un monument du film noir dont l’écho résonne sur les parois du Chien enragé ou d’Entre le ciel et l’enfer de Kurosawa. On peut retrouver ce film depuis 2009 en DVD chez Wild Side dans la collection « Les introuvables / l’âge d’or du cinéma asiatique ».
On continue notre tour du catalogue de la Korean Film Archive, en vous proposant les critiques des meilleurs films de la cinémathèque coréenne. Restauré en 2017, A Day Off de Lee Man-hee est un sommet du drame social coréen des années 60, décennie du marasme économique.
Nous poursuivons notre voyage dans le catalogue de la Korean Film Archive, qui met à disposition gratuitement et légalement pléthores de films coréens classiques sur les internets. En 1955, à peine deux ans après la «fin» de la Guerre de Corée, le sud-coréen Lee Kang-cheon réalisait Piagol, un film brutal, mécontentant toutes les idéologies.
La cinémathèque coréenne (ou Korean Film Archive) met en ligne depuis 2012 des films classiques coréens. Nous essaierons de vous parler des meilleurs d'entre eux à travers une série de critiques. Cette fois-ci, c'est le tour d'Early Rain de Jeong Jin-woo, sorti originellement en 1966 en Corée du Sud et restauré en 2017.
Cette information n'est pas des plus connues, et pourtant elle est merveilleuse. Depuis 2012, la cinémathèque coréenne, Korean Film Archive, met en ligne sur son site et sur sa chaîne Youtube « 한국고전영화 Korean Classic Film » de nombreux films vintage du cinéma coréen. Systématiquement agrémentés de sous-titres anglais, parfois restaurés, totalement gratuits et légaux, il sont environ au nombre de 300 à être disponibles et de nouveaux sont encore ajoutés régulièrement. Nous allons essayer de vous parler des meilleurs d'entre eux, et on commence cette fois-ci avec The Oldest Son de Lee Doo-yong, sorti en Corée du Sud en 1984 et restauré en 2016 !
La rétrospective Ozu est de retour au cinéma grâce à Carlotta, après son succès de l’année dernière. On redécouvre alors Printemps précoce, questionnement sur la place de la famille dans l'existence du salary man japonais.