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Mot de passe oublié ?
Le roman chinois Journey to the West, qui date du XVIe siècle, ne cesse d’être adapté au cinéma. Et cette fois, c’est Tsui Hark qui s’y colle. Mais pas tout seul ! Après avoir découvert un teaser un peu loufoque, on se penche sur un trailer qui ne semble pas plus sérieux !
Du 11 janvier au 20 février, La Cinémathèque Française propose le cycle nouvelles voix du cinéma chinois : une sélection de nombreux films, dont L’Orphelin d’Anyang de Chao Wang, People Mountain People Sea de Shangjun Cai, La Rivière Suzhou de Ye Lou, Le Vieux chien du réalisateur tibétain Pema Tseden, Oxhide de Jiayin Liu, The Master de Haofeng Xu, ainsi qu'un hommage à Jiang Wen ou une carte blanche à Jia Zhank-ke. Une exploration des œuvres de la nouvelle génération de cinéastes chinois qui a émergé dans les années 2000 permettant de mieux comprendre les problématiques du cinéma indépendant chinois, à ne pas rater, d'autant que vous pouvez gagner votre invitation pour deux personnes pour la séance de votre choix !
Initialement prévue début octobre 2015, la sortie de The Wasted Times a été sérieusement décalée puisque le film, de coproduction sino-hongkongaise, sortira fin décembre en Chine. Un beau casting pour un film qui s'annonce sombre !
On connaît bien Nick Cheung comme acteur puisqu'il a fait l'affiche, notamment de Election et Election 2. Mais on le connaît moins en tant que réalisateur. Et pourtant, Diya Cao sera son 3e film !
Stephen Chow est un cinéaste à part dans nos contrées. Découvert en grandes pompes grâce à sa comédie footbalistique Shaolin Soccer (2001 - 660 000 entrées salles), succès qui entraîna logiquement une poignée d’autres, plus modestes, avec les exploitations successives de Crazy Kung-fu et CJ7. On attendait donc avec enthousiasme cet effet de rebond qui aurait dû garnir les rayonnages de nos magasins culturels des nombreux inédits du bonhomme. A de rares exceptions près (un coffret HK et Bons baisers de Pekin), sa filmographie demeure malheureusement quasi inconnue chez nous. La faute incombant en partie à ces vauriens de Wenstein qui non content de charcuter les films qu’ils exploitent, s’étaient octroyés au passage les droits à l’international de classique tels que King of Comedy et God Of Cookery dans le but d’en réaliser des remake US.
Bien que Chen Kaige ne fascine plus comme à l’époque de son Adieu, ma concubine, le cinéaste chinois continue son œuvre qui n’est certes pas à la hauteur, mais reste quand même cohérente. C’est ce que nous permet de voir la sortie en DVD de Sacrifice.