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Mot de passe oublié ?
Inutile de présenter Hou Hsiao Hsien (HHH pour les intimes) si ce n’est de confirmer haut la main que ce cinéaste taïwanais (peut-être le plus grand, celui qu’il fallait depuis longtemps) est et sera toujours l’un des fils conducteurs de notre site : un cinéma qui nous heurte, sensibilise, un cinéma qui substitue nos désirs à des rêves entre enfance et découverte de l’âge adulte. Retour sur la rétrospective proposée par Carlotta avec 6 œuvres de jeunesse du maître en vidéo à partir du 8 novembre : Cute Girl (1980) ; Green, Green Grass of Home (1982) ; Les Garçons de Fengkuei (1983) ; Un temps pour vivre, un temps pour mourir (1985) ; Poussières dans le vent (1986) et La Fille du Nil (1987).
Bonjour à tous, et bienvenue sur East Asia pour le premier podcast hors-série (et hors Asie) du site, en partenariat avec Time Of The Season, Culturopoing, Cinematraque et Ceci Dit (au bas mot). Victor Lopez présente une introduction d'un peu plus de deux heures à une réflexion sur l'inépuisable saison 3 de la série de David Lynch et Marc Frost par Jeremy Coifman (Time Of The Season), Olivier Rossignot (Culturopoing), Gaël Martin (Cinematraque), Sidy Sakho (Ceci dit (au bas mot)), Anel Dragic, Kephren Montoute. Bonne écoute !
Chim Pom, collectif Japonais d’artistes activistes, mène depuis 2005 une œuvre qui s’appuie sur la performance, les installations vidéo, et les collaborations avec des créateurs célèbres, tels le peintre Makoto Aida et le cinéaste Sono Sion, ainsi qu’avec danseurs, musiciens et autres figures des subcultures de Tokyo.
La 7e édition du Festival du Cinéma Chinois en France (FCCF) s'est tenue du 15 mai au 6 juin à Paris puis a voyagé en province jusqu'au 27 juin, afin de faire découvrir le cinéma chinois au plus grand nombre. Si nous avons parfois été durs sur la programmation de ce festival, bien que reconnaissant son intérêt, nous serons cette année plus clément car, il faut l'avouer, la programmation était plutôt de bonne facture !
Après quelques semaines pour laisser cogiter et rattraper certains films projetés pendant les reprises parisiennes, il est temps de faire un bilan, à tête reposée, de cette 70ème édition du Festival de Cannes.
A l’heure où Megan Colligan, présidente de la distribution internationale chez Paramount, reconnaissait que le casting de Scarlet Johansson fit du tort à l’adaptation Américaine de Ghost in the Shell, par Rupert Sanders, ajoutant que ce film n’a jamais eu la chance d’être simplement… un film, et que le studio aura perdu près de 70 millions de dollars, que penser de ce geste, de ce fantôme qui n’aura pas eu assez de temps pour hanter quoi que ce soit ?