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Le Lotus dans tous ses états de Philippe Rostan (Vietnam - France) a remporté le prix du public du film documentaire (offert par la Communauté d'Agglomération de Vesoul) lors de la 19ème édition du Festival International des Cinémas d'Asie (notre critique ici). Rencontre avec un habitué de Vesoul.
L'interview de O Muel, réalisateur de Jiseul lors du FICA de Vesoul 2013. Par Julien Thialon.
D’une intense sobriété, Japan's Tragedy, le dernier film de Kobayashi émeut et bouleverse. Le regard plein de tristesse et de résolution de l’immense Nakadai Tatsuya, qui porte le film avec une solidité inébranlable surtout reste en mémoire longtemps après la projection. Le constat est sans appel sur le destin du Japon, voire du monde, et une tristesse infinie transparaît dans chaque recoin du noir et blanc fixe du film. Ce désespoir transparaît jusqu’aux propos de Kobayashi lui-même, que nous avons eu la chance de rencontrer longuement pendant le Black Movie de Genève pour lui parler du film. Heureusement, la tristesse est contrebalancée par une gentillesse infinie et une envie de partager son expérience avec ses spectateurs. Propos recueillis par Victor Lopez.
C’est avec un grand sourire que nous accueille la réalisatrice mongole Byambasuren Davaa . Avec la même envie de partage culturelle qui traverse ses films, la cinéaste nous parle de son dernier très beau long métrage, Les deux chevaux de Gengis Khan, de sa rencontre avec Urna, de mélange de documentaire et de fiction et de l’histoire du cinéma mongole. Propos recueillis par Victor Lopez.
Interview Yamamura Koji Mon Premier Festival 6 novembre 2012
D’une intense sobriété, Japan's Tragedy, le dernier film de Kobayashi émeut et bouleverse. Le regard plein de tristesse et de résolution de l’immense Nakadai Tatsuya, qui porte le film avec une solidité inébranlable surtout reste en mémoire longtemps après la projection. Le constat est sans appel sur le destin du Japon, voire du monde, et une tristesse infinie transparaît dans chaque recoin du noir et blanc fixe du film. Ce désespoir transparaît jusqu’aux propos de Kobayashi lui-même, que nous avons eu la chance de rencontrer longuement pendant le Black Movie de Genève pour lui parler du film. Heureusement, la tristesse est contrebalancée par une gentillesse infinie, et une envie de partager son expérience avec ses spectateurs. Propos recueillis par Victor Lopez.