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Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent ici deux festivals qui viennent de se dérouler au Japon : le TIFF (Tokyo Film Festival) et Tokyo FilmEx.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent ici Ainu Mosir, le dernier film de Fukanaga Takeshi, qui vient de sortir au Japon.
Il y a de cela deux ans, Fabien Mauro avait, via son livre Ishiro Honda, humanisme monstre, permis aux cinéphiles comme aux néophytes les plus curieux de découvrir la vie et l’œuvre du célèbre cinéaste japonais, créateur de l’incontournable Godzilla. Il doit sa renommée à ses films tournés dans le Japon d’après-guerre, principalement des films de monstres. Mais Honda Ishiro est un arbre, certes majestueux, mais qui cache la forêt d’une quantité hallucinante de films de genre tournés après la guerre. Et c’est cette passionnante et foisonnante partie de l'histoire du cinéma fantastique que Fabien Mauro nous conte dans son nouveau livre Kaiju, envahisseurs et apocalypse : l'âge d'or de la science-fiction japonaise.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent ici le festival Nippon Connection, dont l'édition virtuelle s'est tenue du 9 au 14 juin dernier.
Suite à la rétrospective de juillet 2019, Capricci met les petits plans dans les grands et édite dans un beau coffret blu-ray/DVD 8 chefs-d’œuvre de Mizoguchi Kenji : une exploitation vidéo digne de ce nom dont avait bien besoin un tel maître du cinéma japonais. Revenons en détail sur ces longs-métrages et comment ils s’inscrivent […]
À partir du 31 juillet 2019, Capricci propose en salles une rétrospective de huit films du grand réalisateur japonais Mizoguchi Kenji. C'est l'occasion pour les spectateurs de se plonger dans l’œuvre de ce metteur en scène important du cinéma japonais classique, qui n'a, pour l'instant, pas été autant gâté que ses cadets Kurosawa Akira ou Ozu Yasujiro en termes de distribution. Et c'est l'occasion pour nous de revenir en détail sur son œuvre.