rester connecté
Mot de passe oublié ?
Le Brussels International Fantastic Film Festival a toujours été éclectique dans sa programmation, et cette 35ème édition ne fait pas exception à la règle. Présenté en compétition internationale, Vanishing Time: A Boy Who Returned met en avant une volonté de raconter une histoire d'amour avec douceur et poésie. Ce récit a plu au jury international, qui lui a remis une mention spéciale.
Hot Manga est un éditeur de manga et de DVD spécialisé dans le hentaï. Nanti d'une grande collection de DVD à petits prix, il propose à présent une formule par abonnement.
Les Mo Brothers (Kimo Stamboel et Timo Tjahjanto) sont des habitués du Brussels International Fantastic Film Festival, puisque leurs deux précédents films (Macabre et Killers) y étaient présentés. Headshot, leur petit dernier, apparaît dans la catégorie Panorama de cette 35ème édition
En 1999, Yamamoto Jun'ichi réalise un court-métrage intitulé Meatball Machine, montrant des créatures mi-hommes mi-mécha se faire la guerre. Le succès du dit film permet au réalisateur d'en faire un remake, aidé de Yamaguchi Yudai, mais aussi de Nishimura Yoshihiro, ce dernier s'occupant des effets spéciaux. Nishimura revient, après un film plus sage (The Ninja War Of Torakage, lui-aussi présenté au BIFFF) à Meatball Machine, en réalisant une déclinaison de l'oeuvre. Le film est présenté hors-compétition et en première internationale pour cette 35ème édition du Brussels International Fantastic Film Festival.
Le Brussels International Fantastic Film Festival a vu sa 35ème édition s'achever, après douze jours placés sous le signe de la cinéphilie fantastique au sens large. Une programmation éclectique, une fréquentation en hausse, des films de qualité, dont plusieurs ont été primés. Comme tous les ans, l'Asie, largement représentée, a été mise en avant avec plusieurs films récompensés.
Netflix, continuant à étoffer son contenu, nous permet aujourd'hui de découvrir Pandora, film catastrophe centré sur une centrale nucléaire. En ces temps où l'écologie est au cœur de beaucoup de préoccupations, mais où les hommes politiques semblent continuer à s'en moquer, le cinéma essaie, avec plus ou moins de brio, de brasser les thématiques du risque du nucléaire. Sono Sion avait ainsi livré le chef d’œuvre Land Of Hope, et c'est donc au tour de la Corée de s'y intéresser avec Pandora.