rester connecté
Mot de passe oublié ?
Bonjour à tous, et bienvenue sur East Asia pour notre Podcast en direct du 24ème Festival International des Cinéma d'Asie (FICA) qui s'est tenu à Vesoul du 30 janvier au 6 février. Elias Campos, Jeremy Coifman, Kephren Montoute et Victor Lopez reviennent sur les films en compétition et leurs coups de cœur de l'édition 2018 du rendez-vous incontournable des amateurs de cinéma asiatique. Bonne écoute !
Hong Sang-soo était à l'honneur cette année à Cannes puisque deux de ses nouveaux films étaient présentés, Le Jour d'après en Compétition et La Caméra de Claire en Séance Spéciale. Retour sur ce dernier à l'occasion de sa présentation en avant-première au 24ème Festival International des Cinemas d'Asie de Vesoul, avant sa sortie en salles le 7 mars prochain.
Depuis quelques films, Kawase Naomi ramène son cinéma vers quelque chose de plus épuré, certains diront plus grand public. Avec Vers la lumière, la réalisatrice japonaise choisit la simplicité apparente d’une histoire d’amour sensorielle pour offrir une réflexion sur son propre média, sa propre sensibilité, sa propre vision, à découvrir en salles le 10 janvier.
Vous souhaitez visionner des films films et originaux sortant des sentiers battus ? Outbuster est la solution ! East Asia vous propose un focus sur les films asiatiques disponibles en VoD sur le site ! Retour aujourd'hui sur le délirant et sublime Tokyo Tribe de Sono Sion. On chante tous : Tokyo Tribe, never ever die... !
Avec A Quiet Dream, Zhang Lu, réalisateur sino-coréen prolifique vivant non loin de la Corée du Nord, signe sans doute le long-métrage le plus étrange de ce Festival du Film Coréen à Paris 2017, mais aussi le plus exaltant.
Oh Lucy!, notre coup de cœur issu de la sélection cannoise de La Semaine de la critique, de la jeune réalisatrice japonaise Hirayanagi Atsuko, est à redécouvrir à Kinotayo avant d'arriver en salles début 2018. Co-produit avec les Etats-Unis, le film a été tourné entre Tokyo et Los Angeles. Adaptant son propre court-métrage éponyme, Hirayanagi Atsuko signe ici son premier long-métrage, avec une refonte totale du casting, beaucoup plus prestigieux, et une ambition revue à la hausse.